Festival d'Avignon-12
Par Abdallah AKREMI | Le Mar 22 juil 2014 | Commentaires (0)
FESTIVAL D'AVIGNON 12
Théâtre, « Sermon joyeux » au théâtre des Carmes
6 sermons "joyeux" qui abordent divers aspects de nos sociétés. Des thèmes universels qui résonnent dans nos parts les plus
Intimes : la capacité à créer, à inventer chaque jour, l'espoir insolent face au cynisme, la peur de l'inconnu, la difficulté à
vieillir, le désir de croquer la vie à pleines dents par opposition à l’hygiénisme ambiant...
Mon avis : du texte, un joli décor, une comédienne pleine de talents (trop ???)…et cela donne un spectacle
insupportable …trop c’est trop ???
Théâtre musical, « naturellement belle » théâtre des Corps saints
Dans un monde qui ne semble être fait que d’images et de rapports humains futiles et matérialistes, deux employés de
« L’Agence » sont chargés d’une mission spéciale, dont dépend crucialement leur avenir professionnel… Le tout en
dialogues et chansons, avec une bonne dose d’humour !
« Une histoire mi-grave mi-drôle : on passe en deux secondes de l’émotion au rire. Un régal ! » (FRANCE MUSIQUE)
Mon avis : je n’ai ni ri ni pleuré….en fait, il ne se passe pas grand-chose pendant ce spectacle…en tout
cas, rien d’intéressant !...tant pis …
Théâtre à partir de 8 ans au Cabestan
«AZIMUTH a les épaules artistiques pour endosser, à la fois, le questionnement tragique de HAMLET et la digression follement contemporaine et humoristique propre à son personnage habituel.» DERNIÈRES NOUVELLES D’ALSACE «Sous le rire, le drame... Bernard AZIMUTH sait, avec sa connaissance parfaite de la pièce, jouer avec le contenu de celle-ci, sa trame, ses lignes. Génial interprète de didascalies ironiques parce qu’émouvantes, Bernard AZIMUTH n’est pas un amuseur, c’est un auteur contemporain qui évite à son public de se perdre dans les oripeaux modernistes, leur redonnant le sourire, provoquant en eux, un rire empreint de mélancolie. Au final, on se dit que Bernard AZIMUTH est à SHAKESPEARE ce que Fabrice LUCHINI est à CÉLINE.» RUE89
Mon avis : d’accord avec les critiques…sauf que je n’imagine pas proposer ce spectacle à des jeunes de huit…ou à des adultes pour lesquels Hamlet, ça ne dit pas grand-chose…
Catherine Besnier
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